J'ai 25 ans. Cela fait presque 4 ans que je suis sortie du système scolaire et professionnelle, pour diverses raisons, mais c'est pas le sujet, je veux simplement poser un contexte de vie.

Récemment, deux postes dans la médiathèque de ma (petite) commune, se sont libérés.

L'offre d'emploi était à peine croyable, tant tout ce qu'elle demandait correspondait à mes domaines de compétence, sans oublier la proximité géographique (j'habite à moins de dix minutes en voiture). De plus, même si ça peut sembler anecdotique, il se trouve que c'est la médiatheque de mon enfance.

Ma vie personelle étant tissé de littérature, d'informatique (j'ai même un petit bac +2 dans ce domaine), et de jeux-vidéos, elle concorde parfaitement avec la vie de la médiathèque, dont les aspects gravitent précisément autour de ces pôles. Je me doute bien, évidemment, que le travail ne consiste pas à lire et jouer.

Simplement, je partais avec l'espoir légitime d'être retenu, au vu des points communs entre mes passions et les tâches demandés. Seul pêchait un aspect animation (enfants et personnes âgées principalement), car je n'ai pas d'expérience dans le domaine. Je dois dire que ce n'est pas non plus ce qui m'enjaillait le plus. Mais on parle de petites animations, sous forme d'atelier éducatif, et peu fréquentes, pour l'école du coin notamment. Donc je peux faire l'effort. De plus, connaissant bien le domaine de l'informatique, je n'appréhendais pas spécialement ces choses malgré un tempérament assez introverti.

Quand j'ai appris que je n'avais pas été retenu, j'ai évidemment été déçu. Mais au fond je me disais que les autres avaient simplement été meilleure à l'entretien.
Spoiler : C'était pas ça. Seuls trois entretiens ont été fait, et personne n'a été retenu.

J'ai eu des échos des raisons, grâce à un proche, étonné de ce refus, qui cotoit un peu la présidente de la communauté de commune (Heureusement, parce que ma demande d'explication par mail à été tout simplement ignoré).

Les raisons sont superficielles et basées sur des déductions faites en 10 minutes d'entretien. Ce n'est même pas dû au trou de mon CV. Non. En un entretien de 10 minutes, elle a réussit à déduire que je n'étais pas assez motivé, et que je n'avais pas le tempérament.

Vraiment ?
Je me casse le cul à faire un CV, une lettre de motivation, venir à un entretien et parler en boucle du fait que (grossièrement) j'adore les livres, les jeux-vidéos, et l'informatique, que je me fou du salaire et que je veux un travail qui m'épanouis avant tout, mais je suis pas assez motivé ? Et j'imagine qu'elle sait mieux que moi ce qui me convient comme métier ?

"Il aurait pu venir à la bibliothèque prendre des informations, s'informer un peu sur la commune"

Et en plus j'ai des devoirs sans même être certain d'être pris ? La passion de l'institution avant ce qu'elle représente, c'est ça le plus important, vraiment ?

A l'entendre, on croirait que c'est un post d'ingénieur dans le nucléaire. Elle ne veux pas prendre de risque apparemment. Quel risque bordel ? Quel risque il y a à me donner 1 mois d'essai ?

"Oui mais la médiathèque c'est la vitrine de la commune"

Je suis à ce point demeurer et déprimant pour pulvériser l'image de la commune en 1 mois ?

Cette petite reine qui a le dernier mot, qui s'imagine mentaliste et croit pouvoir perçer la personnalité de quelqu'un en 10 minutes. Ah j'oubliais, sur les trois recruteurs, c'est elle qui a la décision finale, alors qu'elle travaille même pas là-bas. Elle a rien à foutre là. Je comprends mieux sa mauvaise réputation. Dès l'entretien sa gueule me revenait pas. Il a suffit qu'elle se présente et dise son nom pour que je réalise que c'était potentiellement finit.

J'ai même l'impression que c'est le type de personne qui cherche à ce que les gens l'implorent. L'égo du politique ayant du pouvoir finalement. À défaut de mettre le genou à terre comme pour un roi, il faut renvoyer des lettres et s'intéresser à sa putain de commune en amont pour "prouver" notre motivation, et qu'elle jouisse de son pouvoir décisionnel. On me conseille de faire ça, mais j'ai franchement pas envie. Elle m'a juste refroidi et dégoûté.

J'ai le gène du parasite il faut croire. Si même ce genre de poste où tout concorde théoriquement, je ne suis pas embaucher, je vais juste rester au RSA toute ma vie et vivre chez mes parents. Avec un peu de chance, j'arriverai à vivre de mes passions en autodidacte. Mais il n'empêche que ce refus m'a profondément énervé et titiller une haine déjà bien installé envers les idiots del famoso "monde du travail", et leurs raisonnements absurdes.

Bonjour à tous, j’ai un cas de conscience ces derniers jours… voilà je me suis cassé un os il y a quelques jours j’ai donc subi une chirurgie et j’ai un arrêt de travail en conséquence. 6 semaines pour être exacte. Et je suis heureuse. Tellement heureuse que j’ai même pas mal. Je me suis levée avec le sourire, de bonne humeur, plus tôt qu’à mon heure de réveil habituelle où je galère à me sortir du lit, avec le moral à zéro etc. Ça me fait peur de me sentir si bien alors que je devrais être « mal ». Je culpabilise de laisser un collègue en particulier se débrouiller avec mon taff mais bon… Cela réaffirme bien ma pensée selon laquelle nous ne sommes pas bâtis pour passer 8h par jour enfermé à accomplir des taches triviales. Bon courage à tous quoi qu’il en soit.

Bonjour à tous,

Je fais face à un problème qui se répète à chaque fois que je change de travail, je ne me sens pas à ma place, le fait de devoir m’adapter aux gens, c’est à dire leurs caractères et leurs humeurs de merde, être dans des endroits dans l’entreprise où y a bcp de monde, comme les salles de pause ou open Space, je rentre chez moi le soir je suis épuisé, je n’arrive même pas à discuter avec des collègues, j’en ai rien à foutre de ce qu’ils racontent, ça me fatigue….

A chaque fois, je fini par me renfermer car je suis pas bien, je suis lessivé le soir en rentrant du taff, et je dépérit car en plus de ça j’ai de l’anxiété.

Bon je sais que vous êtes pas psy mais je voudrais voir si y a des cas similaires au mien car je me sens comme un extraterrestre.

Je vous explique. Je suis prof dans l'en et à chaque demande de temps partiel de droit handicap, on nous demande s.il l'on souhaite sur cotiser pour la retraite. Seulement,avec mon salaire de misère à 50% il est hors de question que je surcotise au risque d'avoir des problèmes d'argent là où je n'en ai pas car je fais très attention.

Y a t il des textes ou des cas de figures qui sont prévus pour les travailleurs handicapés et le départ en retraite lorsqu'ils ont travaillé à temps partiel toute leur vie ?

Je ne me berce pas d'illusion sur le système de retraite dans 30 ans, je m'intéresse simplement à la situation de maintenant.

Je vous remet pour vos réponses !

Noah

Yo tout le monde, Je suis en plein préavis de démission (2 mois, ouch), et je me fais clairement chier au taf. J’ai déjà la tête dans ma future boîte, donc autant dire que la motivation est proche du néant.

Cerise sur le gâteau : ils veulent que je trouve mon remplaçant. Sauf que bon… j’suis pas super chaud. Déjà parce que j’ai zéro motivation, et surtout parce que j’ai un rôle un peu fourre-tout dans la boîte (couteau suisse style), donc pas vraiment évident d’être objectif ou même de savoir quoi chercher.

Est-ce que certain·e·s d’entre vous ont réussi à gratter un raccourcissement de préavis ? Des tips, des arguments qui ont marché avec votre employeur ?

Merci d’avance pour vos retours, je prends tout !

Je suis au bureau actuellement, et je suis fatigué, j'ai dormi 30 minutes la tête dans les bras pendant la pause. Je peine à effectué mes tâches, pas particulièrement éreintante, mais surtout répétitives. Je suis à bout et j'ai besoin de décharger.

J'aimerai limite me foutre en arrêt ou montrer que je suis arrivé à un stade d'épuisement certain, mais je crains les retours, que l'on me considère comme faible ou autre adjectif qui me ferait sentir comme une merde ou que mon ressenti n'est pas légitime.

Belle journée à vous

Tout est dans le titre.

Je suis étudiant, supposément plein d'espoir avec bientôt un bac +5 en poche et pourtant non je pense que je n'ai jamais été aussi misérable que pendant ces deux dernières années de master.

Ma première alternance s'est terminée en rupture co au bout de 6 mois avec un patron qui fesait des menaces pour me pousser à accepter sa proposition de rupture ridicule.

Après ça j'ai bien profité de mon chomage et de ma "prime" de départ qui m'a permis d'avoir largement le temps de souffler et de bosser convenablement sur mon mémoire de fin d'études.

Tout ça jusqu'en septembre ou j'ai pu retrouver une nouvelle alternance qui s'est également soldée par un échec au bout de 3 mois. De nul part, ils ont décidé rompre ma période d'essai une semaine avant la fin sans rappel à l'ordre ou entrevue préalable le tout dans mon dos avec une grande dose de courage, un plaisir !

Ce fût un mal pour un bien puisque j'avais mon projet de fin d'études à rendre courant janvier, cette rupture m'a vraiment permis de me focus sur ce qui était le plus important à mes yeux. Ce temps supplémentaire m'a bien permis de paufiner mon projet et de rendre quelque chose de satisfaisant donc trop cool !

Mais maintenant plus rien, je me suis remis à chercher activement courant février/mars et trouver une alternance à cette période de l'année dans mon secteur, c'est franchement pas simple. La plupart des offres sont des stages. Je me suis permis de postuler aux stages longs pour tenter de négocier une alternance tout en sachant que mon profil avec ma rémunération revient au même qu'un stagiaire temps plein. J'ai eu 3 entretiens qui se sont tous soldés par un refus. Forcément quand des personnes sont prêtes à travailler gratuit on va plutôt prendre un pauvre stagiaire pour 2 mois, enfin bref.

Dans tout ça il y'a mon école qui n'apporte aucun soutien ni suivi à ses étudiants, je galère à trouver quelque chose ?! Silence radio, ça fait plaisir. Sachant que ma formation n'a pas été prise en charge jusqu'au bout si je ne trouve pas d'alternance avant juin je devrais payer les deux derniers mois de ma formation = 2000€, autant dire que j'aimerais ne pas donner un seul centime à mon école étant donné le suivi et le soutien inexistant.

À coté de ça, je n'ai même plus droit au chomâge, mes droits se sont épuisés et je n'ai pas assez travaillé dans ma dernière boite pour les avoir rechargés. J'ai des économies et mes parents ont la gentillesse de m'aider mais le sentiment de culpabilité est vraiment fort en ce moment. Je vis aussi avec ma copine et je me sens encore plus inutile quand je la vois partir faire un boulot qu'elle n'aime pas pour payer ses études.

J'appréhende également la suite. Je suis à 5 mois de la fin de mes études et au vu du marché de travail qui plus est dans mon secteur, je ne suis vraiment pas optimiste pour la suite. Je me sens inutile au possible et j'ai l'impression d'avoir perdu 5 ans de ma vie dans des études qui ne me ménèront a rien. Je n'ai eu que très peu d'experience la dedans mais j'en suis venu plusieurs fois à me demander s'il ne faudrait pas que je me réoriente.

Je culpabilise aussi énormément de ne pas travailler et j'ai l'impression de ne rien apporter. À coté je sais que j'ai plus de temps pour moi, j'ai repris le sport et je me sens mieux vis a vis de ça mais le sentiment ne disparait pas.

Comment faites vous face à ce genre de situation ?

Mon ex-employeur m'a contactée après 4 mois de la rupture de ma période d'essai.

En bref, c'était un poste opportuniste pour bénéficier du CIR et de mon statut de jeune chercheur, où ils peuvent récupérer jusqu'à 120 % de mon salaire pour mon premier CDI après la thèse. Honnêtement, c'était une période terrible pour moi, je suis encore émotionnellement fragile. Il me demande d'envoyer mon diplôme de thèse pour bénéficier du CIR.

Je n'ai pas envie d'avoir de communication avec eux et je me demande si j'ai l'obligation de répondre et d'envoyer mon diplôme?

Aujourd’hui, j’ai envoyé un mail à une recruteuse avec qui j’avais passé un entretien. C’était une des managers (elle est ingénieure), et l’entretien s’était super bien passé, malgré le fait que je n’aie pas vraiment d’expérience. Elle m’avait dit qu’elle me donnerait une réponse fin mars, mais elle ne l’a jamais fait. Je pensais juste attendre, mais hier une amie m’a dit de la relancer, donc je l’ai fait ce matin.

Pour donner un peu plus de contexte: il y a quelques semaines je lui avais demandé si elle connaissait un manager pour un autre poste que j’avais vu, dans la même entreprise et dans un groupe similaire. Elle lui donne mon contact et là quand elle me répond aujourd’hui, elle me sort qu’elle a cru que quand je lui demandais ça c’était parce que je n’étais plus intéressée par son poste… donc ils ont mis ma candidature de côté.

J’étais FURIEUSE en lisant ça. À quel point il faut être con et inhumain pour faire ça?? Même pas me demander en quelques mots si je suis toujours intéressée? Juste me jeter comme ça sous prétexte que je regarde aussi ailleurs? C’est hallucinant le manque total de skills sociales et d’empathie que ces ingénieurs débiles peuvent avoir. En plus en ce moment c’est hyper compliqué de trouver des offres dans mon domaine, et elle m’a juste complètement niqué… c’était pratiquement mon job de rêve.

Ne vous faites pas leurrer par le salaire, ni par le CDI d'un jeune tout juste sorti d'école, un poste confortable et les avantages associés. J'avais un travail de cadre sans aucun sens et où je n'avais pas d'impact. Jusqu'à présent j'ai connu 2 sortes de taff de « cols blancs » mais que dans de grandes entreprises :

• Les fonctions support, stratégiques ou décisionnels qui ne servent à rien puisqu'on ne produit pas le produit fini et que parfois on prend de mauvaises décisions qui de fait, n'ont aucun impact sur la croissance de l'entreprise même si elles sont mauvaises ;

• Les tâches directement liées à la production mais tellement l'entreprise est grande si vous n'êtes pas là cela ne change rien, surtout en début de carrière.

J'en ai ma claque du monde capitaliste et de travailler pour le 1% qui possède 90% des richesses. J'hésite à entreprendre de m'engager pleinement en politique.

Jusqu'où on va ?

Ce post a pas trop de but si ce n'est un énième témoignage de l'ignominie du monde du travail.

Deux histoires courtes.

La 1ère, j'ai subis pendant 3 ans les humeurs changeantes d'un collègue, toujours prêt a poignarder dans le dos et toujours prompt a refiler le sale boulot aux autres. Le genre de collègue que t'a pas franchement envie d'avoir.
Il faut pas se délecter du malheur des autres mais de voir un post LinkedIn de sa part "Open to Work" m'a vraiment fait bander (et c'est mal). Bon courage chez FT hein.

2eme histoire, dans cette même boite un manager débarqué d'on ne sait-où est arrivé, il s'est révélé être la plus grande merde humaine que j'ai jamais croisé de toute ma carrière en termes de valeur et de respect des gens.
Après 3 démissions directe, ce sociopathe à pris le poste de direction au dessus avec la bénédiction de la hiérarchie.

C'est ce type qui m'a fait perdre tout espoir et respect pour le monde du travail. Visiblement les comportements les plus abjects sont encouragés et même récompensés. Personnellement ça me fait gerber et j'en ai tiré la leçon que la méritocratie n'existe évidemment pas et n'a jamais existé.

Paradoxalement, je suis maintenant dans une boite ultra bienveillante avec respect humain, paye correcte et avantages et je ne me plains absolument pas actuellement. Je vis d'ailleurs un décalage psy assez intense parce que je suis dégoûté et en colère de toute la merde que j'ai vécue mais actuellement c'est un vrai petit paradis ( le bonheur du TT c'est donc ça ?!) et ils n'y sont pour rien. Pas facile la distorsion mentale au quotidien parfois.

Voila c'est tout pour moi

Bonjour à tous,

Je sollicite vos conseils suite à un refus de rupture conventionnelle.

Contexte : Je suis dans une startup depuis quelques années sur un poste clé où je suis le seul à posséder les compétences nécessaires. Depuis plusieurs mois, je ne suis plus motivé par les projets et l'atmosphère startup nation me détruit la santé mentale : je suis souvent à fleur de peau et réveils nocturnes ainsi que plaques d'eczéma ont fait leur apparition dans mon quotidien. Bref un potentiel burn out ?

En dehors de ce taff, tout va bien dans ma vie mais ce taff me ronge. Même si je n'ai pas à me plaindre niveau salaire, je veux mettre ma santé mentale en priorité.

J'ai donc envisagé une rupture conventionnelle pour d'une part, me permettre de prendre le temps de me reposer et d'autre part pour effectuer une réflexion sur une reconversion (mon métier étant peu présent sur le marché et encore moins dans ma région). En échange, j'aurais fait le nécessaire pour assurer la passation du poste à mon successeur.

Cependant cette rupture conventionnelle a été refusée sans même pouvoir négocier : ma boîte est limite niveau finance et veut se faire acheter par des industries pour adossement ou ce sera sa fin. Mon poste étant indispensable dans leurs projets, la rupture n'est pas envisageable pour la boîte malgré leur connaissance de mon désintérêt total pour leur survie.

Que feriez-vous, à ma place, pour que cette rupture soit envisagée par ma boîte ? Il faut savoir qu'aucune augmentation n'a été faite depuis des années et l'année prochaine, si la boîte survie, je prends 14% par la convention collective. Ainsi, mon départ serait moins coûteux pour eux à terme.

Merci pour vos retours

Edit: après discussion avec le patron, mon poste va être abandonné après mon départ (tellement c'est la merde financièrement) donc je n'ai plus qu'à préparer ma démission. Je vais en profiter un max pour utiliser du temps de travail à me former

J'ai bosser 10 ans dans l'électricité le taff est cool, intéressant mai c'est la manière de faire qui est invivable, exemple : un chantier ne peut pas se passer parfaitement il y a un truc qui s'appel le principe d'incertitude qui dit que la seul chose dont tu peux être sure à 100% c'est que tu vas mourir donc quand un promoteur demande un bâtiment construit en X temps alors l'archi et le bureau d'étude bâclent certaines taches pour aller plus vite puis le chantier commence et là il suffit d'un retard de livraison de matériel, d'un imprévu technique et ta dead line elle est foutu donc on met la pression au entreprises qui la mettent aux salarié pour "allé plus vite" donc pour allé plus vite certains bâclent le travail parcequ'il faut "finir pour tel date" donc on se retrouve avec des bâtiments "fini" ou franchement il faut pas regarder les finitions mai personne ne semble avoir les corones de dire "il nous faut plus de temps pour faire le travail correctement" et moi perso ça m'as dégouté de mon travail. Ou quand ton "responsable" est pas allé chez le client il commande du matériel pas adapté il ne connais pas la réalité du travail a effectué donc il estime un temps de travail biaisé de base. Ou bien les "ça prend 10 minutes" ou encore faire tel tâche ça prend "X minutes" "bah ça dépend dans les conditions je prend 10 minutes dans d'autres 30" parce-que je dois souvent m'adapter à la situation, trouver des solutions.

Sa donne l'impression que plus personne sais travailler ou veuille le faire correctement, quand quelqu'un me demande un conseil genre "combien de temps tu pense pour m'installer une prise ici?" je rajoute toujours une marge parce-que je suis pas infaillible je suis pas parfait peut-être que je vais pas avoir noté un détail qui vas me prendre 20 minutes en plus, peut être que j'ai oublier de commander un matériel parceque dérrière le mur "ah bah enfaite il y a une féraille de de 10cm d'épaisseur donc enfaite ce que j'ai prévu ça marche pas ou le câble est pourri il faut le changer" rien que changer un câble ça peut prendre entre 5 minutes et 1h si t'as pas de chance, pour rester sur l'exemple de la prise.

Et tout ça me rend dingue et la seul solution que je vois c'est "je vais acheter un bout de forêt et être un hermite/ sorcier faire pousser des légumes faire des choses plus artistique (j'écris quelques nouvelles je fais unpeu de musique par exemple) et être au max autonome à la limite bosser de temps en temps quand j'ai besoin d'argent, je suis pas le genre à être dépensier je peux vivre avec pas grand chose, mai même habiter sur son terrain d'un point de vue de la lois c'est d'un compliquer...

Bref "I'll be the witch of the woods"

Bonjour j'ai un rdv téléphonique prévu avec pôle emploi sauf que je serais au USA savez vous si ils peuvent quand même m'appeler sur mon numéro et si ils peuvent voir que je suis pas en France ?

Un ami à acheté un hôtel à l’abandon au milieu de la montagne. Le but est de le rénover avec plusieurs amis, d’en faire un château (parce que c’est amusant) et d’y vivre en étant un maximum en autosuffisance.

Je passerais mon temps à me balader en forêt, à récolter, a pêcher et à jardiner.

Nous allons être entre 15 et 20 à vivre en marge de la société dans un même endroit, en étant le plus indépendant possible.

Pendant les années ou je travaillais, à échainer les petits boulots ou le travail de bureau soporifique et parfois dégradant, je ne faisais que survivre. J’ai perdu 7 années de ma vie.

Maintenant je vais pouvoir vivre. Je ne ferais jamais carrière, mais le travaille que je ferais sera uniquement parce que je le veux, et ce sera pour moi et les gens que j’aime.

Une partie de moi culpabilise… Je sais que certains parlent derrière mon dos ( proches, amis…). Comment enlever le sentiment de culpabilité ?

Pour vous expliquer mon parcours: J’ai fais de longues études , j’ai un bac +5 en communication. Si j’ai adoré mes etudes, je ne me suis jamais vraiment épanoui dans mes stages. J’ai du faire 3 stages en entreprises qui sont même arrivé à me faire douter de mon choix d’etude tellement je n’ai pas adhéré au milieu de l’entreprise.

Ensuite j’ai travaillé pendant 3 ans dans un poste qui m’a enfin plu: chargée de communication en médiathèque. Contractuelle dans le secteur public. C’était pas trop mal au niveau du travail, mais j’ai souffert de la sensation de ne plus avoir assez de temps pour moi…

Et puis ensuite plus rien… Je me suis mariée, j’ai eu 3 enfants et je n’ai jamais repris le travail suite à ma 1ere grossesse…

Je suis aujourd’hui maman au foyer, mais dans les fait vu que mon mari a une situation aisée nous avons aussi une employée de maison qui fait le menage et le repassage… Donc ce n’est meme pas que je bosse a fond à la maison niveau corvées.

Il me reste tout de meme à m’occuper de mes enfants et ils sont en bas ages donc ce n'est pas rien. La petite dernière a 1 an… Mais quand elle va commencer l’ecole j’ai peur d’avoir un sentiment que je ne sert à rien au regard de la société.

Je culpabilise d’etre en fait entretenu par mon mari… de pouvoir être cette maman qui en plein milieu de la semaine va faire son yoga , ses cours de danse, va au spa, a du temps pour coudre, cuisiner , trainer sur YouTube et les reseaux… Honnêtement J’ADORE MA VIE mais je culpabilise voila… Reprendriez vous le travail à ma place ? Une activité histoire de ?

J'avais déjà posté ici il y a quelque temps au sujet de mon expérience avec le monde du travail, et plus particulièrement la grande distribution. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai traversé une grosse période de vide où je ne réussissais pas à trouver de travail, ou alors les seuls jobs que j’avais étaient clairement sous-payés par rapport au travail que je pouvais fournir. L’année 2024 a été un enfer, et le début de 2025 n’a pas commencé sous de meilleurs auspices. Je bossais dans la grande distribution, et comme vous pouvez l’imaginer, ça s’est très mal passé.

J’ai préféré quitter mon job, au risque de me mettre dans une situation délicate et de dépendre financièrement davantage de ma mère et de mes potes pendant une courte période, plutôt que de me faire chier dans un taff de merde où je me serais probablement fait sauter le caisson un jour ou l’autre dans un rayon.

Enfin bref, ma chaîne YouTube, que je possède depuis plus d’un an, m’aide énormément à ne pas voir l’avenir de manière trop pessimiste. Depuis plusieurs mois, je bosse quasiment seule sur un gros projet documentaire, avec mes moyens comme d’habitude, et putain, c’est incroyable. Beaucoup de gens ne considéreront pas ça comme un "vrai" travail, malgré le nombre d’heures que je passe sur le script, les recherches, les visuels, les dessins, etc. Et oui, mes vidéos ne sont pas monétisées (à cause des musiques sous copyright), et oui, celle-ci ne le sera pas non plus malgré sa longueur et la richesse de son contenu. Mais honnêtement, je m’en fiche.

Je ne me suis jamais sentie aussi épanouie dans quelque chose de ma vie que maintenant. J’ai la chance de pouvoir échanger avec des putains de légendes qui prennent le temps de répondre à mes questions et acceptent que je les enregistre pour les inclure dans ma vidéo. J’ai la chance de pouvoir faire des recherches et de travailler tous les jours sur un sujet qui me passionne, et ça, aucun job mainstream actuel ne pourrait me procurer ce bonheur.

Maintenant, je survis avec des missions d’intérim pas du tout stables, je galère financièrement, mais peu m’importe.

Bien sûr que j’aimerais gagner ma vie avec ce travail. Peut-être un jour, qui sait ? En tout cas, je ne me vois pas faire autre chose. Il n’y a rien de plus beau que la créativité, la création, le partage d’une passion. Ce que je fais aujourd’hui m’ouvre à des horizons que je n’aurais jamais imaginés, et c’est magnifique !

Bref, croyez en vos rêves, même s’ils ne correspondent pas à des "jobs" conventionnels, même si ça ne paye pas tout de suite... Je veux pouvoir me retourner sur ma vie et me dire que j’ai servi à quelque chose.

Hello les anti-taffeurs et les anti-taffeuses.

Voilà la situation :

Je suis dans une boîte qui fait du développement logiciel où on est 6 : 2 associés, 2 salariés, 2 alternants. La boîte va mal, comme pas mal d'entreprises de la tech, peu de projets rentrent et début d'année on nous avait dit que d'ici avril si on rentrait pas de gros projet bah faudrait songer à se séparer.

Aujourd'hui on y est, timeline :

- Jeudi fin d'aprem on nous dit "Voilà il reste 30K sur le compte, on peut plus vous payer que 1 mois", ils mettent en avant la rupture co, car "plus rapide et moins chère [pour eux]"

- Lundi matin on (mon collègue et moi) donne notre avis, en disant que pour nous le licenciement économique est beaucoup (beaucoup) plus avantageux

- Ce matin (9h j'étais pas prêt), on nous remontre les chiffres (screenshots à l'appui) en nous disant que voilà clairement si on part tous les deux en licenciement éco bah la boîte plonge et les comptes seraient à -17K€

Ma question c'est est-ce qu'ils peuvent vraiment ne pas accepter le licenciement éco ? Et juste aller banqueroute et on a aucun avantage derrière ? Quel est finalement le meilleur choix dans cette situation ?

Yo tout le monde ! J'ai besoin de savoir un truc, est ce qu'on peut toucher le RSA sans faire ces stupides 15 heures ou ateliers si on a un projet perso sérieux sur le long terme ? Ça fait 8 mois que je bosse sur un jeu vidéo, et j'aime vraiment ça donc j'ai pas envie de faire des trucs qui ont rien à voir juste pour leur pseudo réinsertion.

Et si non vous pensez qu'en détaillant et prouvant mon travail ça pourrait passer ? (Compte rendus sur l'avancée du projet, plan de futur entreprise, explications du projet ect...)

Messieurs dames je vous remercie !

Je vous reviens pour vous dire dans les grandes lignes que je n'ai pas perçu de chômage parce que la CPAM n'a jamais pris en compte mon premier arrêt maladie datant de janvier et donc je n'ai jamais eu tous les papiers à ma disposition pour faire la demande de chômage auprès de mon ancien employeur. Et devinez qui commence un nouveau taff au même endroit demain (juste pas le même endroit mais même boulot) ? C'est moi !.... Parce que j'ai été refusé de partout depuis le début de mes recherches et que ce sont les seuls à m'avoir rappelé à cinq reprises pour me proposer un poste... Donc comment vous dire que je ne suis pas ravie du tout mais au moins j'aurai un salaire... Retour au boulot les week-ends, les horaires décalés, la fin de la vie sociale....

Bonjour à tous ,

Voilà je travaille depuis debut janvier en interim en tant que manutentionnaire sur un contrat de 40h qui se renouvelle chaque semaine , or j’ai prévu un voyage cet été de 2 mois donc tout l’été ,je préfère me prendre une fin de mission plutôt que de démissionner car je perd les droit au chomage ainsi que la prime de fin contrat. C’est un boulot qui fonctionne par « quota » donc j’ai pensé à en faire le moins possible à partir du mois de mai en espérant qu’ils me virent mdr. Ou alors est ce que vous avez des idées ? Je suis assez jeune (m21) et un peu nooby dans le domaine je sais pas trop comment ca fonctionne tout ca, bref je veux juste faire en sorte de pouvoir me casser sans que ce soit pris pour un abandon de poste ou une démission.

Merci d’avance et bonne soirée

Comme beaucoup d'entre vous probablement, on ma toujours dit que rester chez sois sans travail = gâcher sa vie.

pourtant je n'ai jamais autant eu l'impression de gâcher ma vie depuis que je travail, j'ai plu le temp pour rien, tout le temp crevé, je vie uniquement pour travailler

Bonjour à tous,

Premièrement je tenais à vous remercier pour votre groupe que je trouve à la foi efficace, réaliste et bienveillant. C'est ma cousine qui m'a conseillé de venir vers vous et j'ai lu pas mal de conversation ici qui étaient vraiment enrichissantes.

Je vais vous faire part d'un problème auquel je suis confronté actuellement. Suite à un Burnout en 2022 provoqué par un poste à responsabilité sous-payé dans l'hôtellerie dans un groupe aux techniques douteuses, j'ai fait un abandon de poste et je suis resté sans ressources 5 mois, ce qui m'a poussé à m'endetter bêtement.

Une fois que j'ai eu enfin accès à mon chômage, j'ai décidé de travailler dans l'animation périscolaire (secteur dans lequel j'avais le plus d'expérience) en temps que vacataire, afin d'étaler un peu mes droits. Finalement c'était pas mal, je travaillais toute la semaine mais seulement quelques heures par jour et je pouvais m'absenter facilement sans que l'on me demande de compte si j'avais envie de faire autre chose. C'était parfait pour me remettre doucement du traumatisme et de la déception liés à mon ancien poste.

Quand mes droits se sont terminés je n'ai malheureusement pas pu prétendre à l'ASS, il me manquait à peine quelques jours de boulot sur les 10 dernières années pour y avoir droit. Je me suis donc retrouvé à vivre seulement sur mon petit salaire d'animateur (entre 500 et 800 euro) plus les APL. Ce qui était difficilement envisageable compte tenue de mes charges élevées, en partie dues à mes dettes.

Mais c'est là qu'une grande surprise est arrivée. La fin de mes droits au chômage et le fait que je n'ai pas travaillé du tout durant un mois complet l'été dernier ont provoqué l'ouverture de mes droits au RSA, j'ai d'abord cru à une erreur mais c'était bien réel. Comme j'ai repris le boulot après les vacances d'été j'ai pu cumuler 565 euro de RSA avec mon salaire d'animateur de 500/600 euro plus également les APL. J'avais enfin l'impression de respirer. Mes revenus dépassaient enfin mes charges. Cette situation que je pensais durer seulement trois mois, a été renouvelée pour trois mois supplémentaires, avec une nouvelle surprise, la prime d'activité. Je me retrouvais donc avec 1000 euro de la CAF (RSA, APL, prime d'activité) plus mon salaire d'environ 500 euro dans l'animation. Tout était vraiment parfait pour moi...

Malheureusement les droits au RSA viennent de s'arrêter le mois dernier et je me retrouve avec 600 euro de la CAF en plus de mon petit salaire. J'espère avoir été clair dans l'explication de ma situation, je n'ai pas voulu parler plus que ça de mon parcours ni de mes projets dans le post, car il aurait été vraiment long, mais je peux en parler par la suite avec plaisir.

En fait ma question est la suivante, quel salaire faut il toucher pour pouvoir continuer à percevoir le RSA. J'entends parler de moins de 565 euro par mois, mais je n'arrive pas à en être sûr, ni à savoir si cela concerne chaque salaire de chaque mois déclaré ou d'une moyenne sur les trois mois. Les barèmes de la CAF sont très compliqués à comprendre et je ne peux pas passer à côté de 400 euro d'allocations supplémentaires chaque mois si cela se joue à quelques dizaines d'euro près dans mon salaire. Sachant que je peux choisir le nombre d'heures que je fais chaque mois dans mon boulot, donc je peux ajuster mon salaire pour tomber dans le bon barème. S'il vous faut plus d'informations pour m'aider, je suis un homme de 30ans, je vis seul à Montpellier avec un loyer de 500€ +70€ de charges. Si quelqu'un pouvait m'aider à comprendre comment marche la CAF, ça serait vraiment formidable 😁